Action, réaction !

Le voyage avait été long et peu agréable, le lieu de rendez-vous se situait à l'autre bout de la ville. Les sièges du train étaient tout ce qu'il y avait de plus abimés et sales, ils étaient percés et le sol était recouvert d'une fine couche de poussière qui volait au grès des pas des voyageurs.
La faune qui peuplait le transport était en parfaite concordance avec le train de banlieue : peu accueillante et inamicale. Certains avec des piercings et lançaient des regards noirs et qui s'attardaient un peu trop sur les sacs à main au goût d'Atsuko. Mais elle savait tenir sa langue dans certaines circonstances donc là, elle ne pipa mot. Elle vit un reflet argenté étincelé à la fine lumière de l'aube. Elle reconnut tout de suite un poignard. L'un des hommes avait une bosse qui sortait de la poche de son jean, peut-être la crosse d'un revolver.

Quand le train s'arrêta au terminus, tous les autres passagers descendirent. L'un des hommes du train s'approcha d'Atsuko et lui réclama son argent. Elle le remit à sa place en un coup de genoux bien placé.
Puis elle s'éloigna, toujours sans avoir ouvert la bouche. Après quelques minutres de marches, elle aperçut une maison reculée, en arrière, à la lisière d'un bois. Elle contempla la masure pendant quelques minutes puis extirpa un bout de papier froissé de sa poche. Dessus était inscrit le nom de l'homme : Kikuko, ainsi que d'autre informations plus ou moins intéressantes pour la mission qu'Azuka et Atsuko avaient en tête. Elle s'était renseignée sur le passé du vieux Kikuko et ce qu'elle avait trouvé l'avait étonné. Il n'avait as toujours été prêtre, au contraire il s'était engagé dans le clergé car il aurait été mêlé à une affaire criminelle. Serait-il devenu prêtre pour racheter ses fautes d'antan ? Mystère... Si c'est le cas, Atsuko ne devrait avoir aucun remord à se débarrasser du pépé, mais de toute façon, Atsuko n'éprouvait plus rien quand elle tuait. Seul l'acte importait. Elmle avait aussi appris que le prénommé Kikuko était un ancien professeur de sciences naturelles, professeur qu'Azuka avait eu. Etait-ce pour cela qu'elle souhaitait tant voir mourir l'homme de ses mains ?

Atsuko s'assit sur un banc et commença à attendre l'arrivée d'Azuka. Elle compta les secondes, puis les minutes. Enfin elle vit une forme noire se dessinait dans le banc de brouillard.

Rhalala ! Sale vieux, tu vas voir si ton élève adoré est si gentille que sa maintenant ! Tss ! Nan mais ! Je m'en souviens, j'avais beau avoir de bonne note, j'avais toujours le droit au zéro avec lui, je me demande pourqui d'ailleur. Il disait que j'était bruyante enfin il était super méchant, mais maintenant c'est moi qui me vange ... Baka sensei !

J'arriva à la gar, Atsuko étgait là comme toujours à l'avance. Je ne dis rien, l'observa et fit un signe de la tête disant que partir. On prit le train et sa dura un long moment, des heures même ! M'enfin on arriva enfin à la maison. C'était une villa, une immence villa, c'était sa maison chez lui, mais c'était mon garage chez moi !

Je fracassa la porte d'un coup de pied, c'était une nuit de pleine lune. Je fis un immence saut et entra directement dans la chambre du vieux, je laissa Atsuko faire mumuse avec les autres. J'étais assise sur le lit, il arriva sur sa chaise. Il ne me reconnus pas au début.

- Coucou, sensei ...

J'aurais aimer dire un truc du genre "T'a mort est venus" mais je voulais une discution avec lui. Il ne me reconnus pas au début, il pronomça des noms tous minables puis trembla quand il dit le mien. Je souris. Je me leva et le jeta sur le lit. Je me mis à quatre pattes sur lui, il tremblait.

- Ca va ?
- Azu .. Azuka-chan !
- Hai sensei !
- Je ...
- Tu es désolé ?
- Oui ... je m'amusais avec toi avant, tu étais ... comme un jouet pour moi.

Je fis un sourire sadique, je l'embrassa et un éclatta, je le détruit. Un détritue va toujours à la poubelle, non ? Alors il explosa, on vit des organes partout et j'avais du sang partout. Je pris toute l'argent dans un sac à lui et rejoind Atsuko.

- T'a finis ou il t'en reste encore ?

Azuka arriva enfin, pedant l'attente, Atsuko avait trouvé le temps long, d'autant plus qu'Auka n'était pa réputée pour être ponctuelle alors qu'Atsuko, si ! Elle s'approcha d'elle, lui fit un signe de la tête et elles partirent toutes les deux. Il fallait encore prendre uun train, Atsuko commençait à en avoir assez de tout ces trajets ! D'autant plus que contrairement au voyage de l'aller, le voyage durerait plusieurs heures, pourtant Atsuko avait toujours eu horreur de tous ces transports ne commun. Elle trouvait cela dégoûtant et peu hygiénique, rien ne la faisait autant horreur que toutes les saletées qui pouvaient joncher le corridor ou l'allée d'un bus ou encore d'un train. Toutes ces saletées l'énervaient.

Une fois arrivée à leur arrêt, une magnifique villa sa dessina sous leurs yeux. Atsuko était étonnée par toute cette richesse, pourtant Azuka ne fit qu'un soupir. Tout cela, elle le connaissait. Elle vivait dans le luxe depuis qu'elle était petite, elle avait toujours connu cela, elle ne savait pas ce qu'était la misère. Pourtant elle ne bénéficiait pas de l'argent de ses parents, elle l'avait refusé car elle pensant qu'il était préférable qu'elle s'eb sorte d'elle même putôt qu'elle ne demande de l'aide à sa propre famille.

Azuka s'en alla de son côté, pendant ce temps, Atsko s'occupa des gardes qui étaient postés devant l'entrée, des chiens, comme elle aimait les appeller. Elle en tua un d'un atémis aux côtés, en blessa un en lui donnant un coup de genou bien placé entre les parties snesibles puis termina les autres en faisant jaillir le sang de leurs veines. Elle les égorgeait grâce à ses éventails, à peine en avait-elle achevé qu'un' autre vague d'hommes vêtus de noirs déferlait sur elle. Enfin elle en arriva à bout. Elle se doutait qu'Azuka était en train de régler ses comptes alors elle ressortit dehors et alla s'asseoir sur l'herbe.

- T'a finis ou il t'en reste encore ?
- Comment ça s'est passé avec l'autre ? La devança Atsuko.