Attention : GHP (Groupie Hystérique Perdue) [ Pv. Mashiro ]

Depuis des mois que j'attendais ça! Le nouveau CD de mon groupe préféré venait de sortir! J'avais vu l'annonce dans le journal, aujourd'hui ils allaient faire une séance d'autographes chez Sound Utopia, le magasin de musique de la ville. Pas question que je rate ça! Le sourire aux lèvres, je me levai très tôt et pris mon petit-déjeuner, une douche, mon précieux porte-feuille, mon sac, mon parapluie et une collation pour la route, puis me rendit à l'arrêt de bus le plus proche. J'avais mes écouteurs dans les oreilles et le volume près du maximum, ce qui faisait que je n'entendais que la musique de Noise's Distubance, le groupe que j'allais voir. Les gens dans l'autobus me jetaient des regards menaçants, probablement exaspérés par le volume de mes écouteurs, mais je m'en fichais. J'étais excitée comme une puce! J'allais rencontrer le beau bassiste du groupe, le garçon le plus mignon de la Terre.

La main sur la barre de fer pour me retenir des soubresauts du véhicule, je souriait de toutes mes dents, rien n'aurait pu gâcher cette journée. Du moins, c'est ce que je crus. Car, au bout de seulement quelques minutes, l'autobus s'arrêta brutalement. En panne. Du moins, c'est ce qu'il semblât. Les gens se levèrent et se tournèrent d'un bloc vers le chauffeur, dans un grognement de consternation. Nous dûmes tous sortir de l'autobus. Et voilà. J'étais prise pour marcher! Pas question que je laisse filer cette chance! Les deux pieds sur le trottoir, j'ouvris mon parapluie pour me protéger de la pluie qui tombait à grosses gouttes, et, en désespoir de cause, je me mis à marcher tranquillement vers le quartier sud d'Emude City. Les minutes filaient, j'espérais arriver à temps. Devant moi se succédaient boutiques et cafés, restaurants et bars. Au bout d'une heure de marche acharnée, je parvins devant la grande vitrine de Sound Utopia.

Il était presque 12h... Les membres du groupe étaient supposés quitter à cette heure. Il fallait que je me dépêche! Rangeant mon parapluie, je poussai la porte du magasin pour apercevoir une longue file qui commençait juste devant moi, et, en hauteur, des affiches du groupe et des tables, beaucoup, beaucoup, beaucoup plus loin. J'étais arrivée trop tard! À peine me glissai-je dans la file qu'on annonça que la séance était terminée... Ce n'était pas vrai! Avais-je donc fait tout ce chemin pour rien?! Certainement pas! Je voulais les voir, je voulais les entendre, je voulais leur CD! Une occasion comme celle-là n'arrivait pas tous les jours!

Là où la foule se dispersait lentement en maugréant, je la fendis pour me rendre à la table... qu'on rangeait. De grands types baraqués surveillaient la foule et me demandèrent de reculer. Je n'étais pas venue chercher les ennuis... Dépitée, les larmes de frustration et de tristesse au bord des yeux, je changeai de route. Un des gardiens m'attrapa l'épaule. Surprise, je fis volte-face. Il me tendit un bout de papier. Sur la feuille blanche, ô surprise, ô joie... Un autographe! Ils n'étaient pas sans cœur, finalement... Même si ça n'équivalait pas à une véritable rencontre avec le bassiste de mes rêves, c'était au moins ça. L'homme me fit signe de dégager le passage, ce que je fis en lui décrochant un regard reconnaissant.

Je m'éloignai sans faire de chichi, un sourire léger flottant sur mon visage. Je me dirigeai vers le rayon du nouveau CD de Noise's Disturbance, Mysery Palatino. J'en ramassai un dans l'étagère et m'éloignai en examinant la couverture, quand je butai contre quelqu'un et m'étalai de tout mon long sous le choc.

Mashiro courait dans les ruelles pour échapper à la dénommée Scieszka qui la suivait en la fusillant de questions. En ayant marre, elle mit son MP3 sur ses oreilles et mit de la musique pour se calmer, harcelée par cette fille qui lui posait des tas de questions, une pluie commança à s'abattre, elle coupa par le parc et commança à marcher dans la gadoue. Cette étrange fille arrêta de la poursuivre, ce qui mit Mashiro de fort bonne humeur, elle se mit contre un arbre pour se protéger de cette fine pluie qu'elle adorait et se mit à rêvasser comme d'habitude près de son arbre. L'orage éclata, ce qui mit Mashiro de mauvaise en pensant à cette drôle de journée. D'abord, une étrange fille, un enlèvement puis une course-poursuite, et un orage. La foudre s'abattit subitement sur son MP3, ce qui la mit en pétard et avec un grand coup d'épée, elle coupa les quelques arbres rassemblés ici. Sa quête d'abri à travers la ville l'amena devant un magasin bondé. Sa curiosité étant plus forte, elle y entra et vit une fille pleurait et puis après avoir eu son autographe, qui sourit. Elle soupira et alla voir le gérant et lui demanda s'il pouvait lui faire quelque chose. Il le répara sans problème, ce qui fit sourire un peu Mashiro dans cette triste journée. Elle se mit à chercher quelques CD, ayant épuisé son stock. Puis, une parfaite inconnue lui fonça dedans. Elle n'avait vraiment pas eu de chance. Elle lui dit en grognant, trempée jusqu'aux os :

- Et toi, t'aurais pas pu regarder devant toi ? Grrr...! Quelle journée de merde!!!! fit-elle dans un murmure incompréhensible.

La collision ayant été plus brutale que je ne l'escomptais, j'étais maintenant affalée dans l'allée d'étagères et je bloquais le passage de tout le monde... Idiote! J'aurais dû regarder où j'allais! Mais j'étais trop occupée à rager contre moi-même, qui avait gâché une si belle occasion de rencontrer mon prince charmant. Alors que j'étais ainsi étalée sur le sol, je m'attendais peut-être à une main tendue pour m'aider, mais la seule chose à laquelle j'eus droit, c'est un grognement de fureur non contenue et de mépris. J'avais commis une simple erreur! Une simple erreur, et la personne que j'avais percutée — une jeune fille, à en juger sa voix — était sur les nerfs... C'est moi qui aurait dû l'être! J'avais raté la chance de la vie! Alors, n'ayant pas l'intention de rester par terre toute ma vie, je me retournai de côté en prenant appui sur ma main, puis remontai mon genou et finis par me relever. Ma main droite était toujours crispée sur le précieux bout de papier, heureusement. Sinon, c'aurait été la goutte qui aurait fait déborder le vase! Je me retournai vers l'inconnue, une fille d'environ mon âge et aux cheveux d'une coupe étrange.

- Désolée... J'étais perdue dans mes pensées... tentai-je, joignant un rire nerveux à ma piètre excuse.

Ma main derrière la tête replaçait fébrilement les mèches de mes cheveux écarlates. Le CD était également dans ma main droite, c'était au moins ça de bon.

- Je vous rassure, je n'ai rien de cassé! ajoutai-je. Vous, ça va?

J'étais quelques peu perplexe. Je m'en voulais de l'avoir bousculée par inattention... Ce n'était pourtant pas mon genre, mais on aurait dit que j'étais comme... distraite, en imaginant ce qu'aurait pu être cette dernière heure si ce fichu bus n'était pas tombé en panne!

[ HRP : Bravo, Mashi'! Je vois nettement le progrès dans l'ensemble. Tu fais plus de lignes et tu construis ton RP avec plus de descriptions! J'ai toutefois encore quelques petits conseils. Évite de faire des phrases trop longues en raccordant plein de bouts avec des virgules et essaie de faire des groupes de deux ou trois. N'oublie pas de mettre à la fin de tes énumérations une conjonction de coordination (et, ou, puis, mais, etc.). Un autre rappel aussi, n'oublie pas que nous sommes dans une ville plus ou moins normale et qu'il y a des policiers, des honnêtes citoyens et des gens qui triment dur pour construire la ville! Donc, évite de « troubler l'ordre public », sauf si c'est nécessaire pour faire avancer le RP. Un tout dernier conseil, toujours le même, surveille ton orthographe! Plusieurs erreurs communes sont facile à éviter! J'ai corrigé ton texte pour toi, cette fois-ci, mais je compte sur toi pour faire plus attention. La prochaine fois, si tu veux, je pourrai te montrer tes fautes les plus courantes et comment les éviter. Et voilà, c'est bon, je me la ferme avec mes conseils à la con! ]

Elle heurta cette fille au cheveux rouge, elle tennait dans sa main un papiers avec une signature, surement un authoggraphe, ce qui expliqué le monde de tout à l'heure, elle la regarda avec une froideur et vus le CD dans sa main, surement encore une de ses goupi qui cours apprès des stars, qui sont juste des personnes de pacotille, vantart à tète angélique, une larme coula de ses yeux elle repensé à son père qui mainte fois il avez risqué sa vie pour cette ville, pour tous reste en paix. C'était des gens commes sa qui fallait admiré ! Puis elle reregarda l'authographe et une autre larme coula de ses yeux, à quoi servait un minuscule papier avec une signature? Pourquoi tous éssayé d'en avoir? Se demanda t'elle perplexe.

- Désolée... J'étais perdue dans mes pensées... Se qu'elle dit la fit ramenné à la réalité.

Elle la regarda avec une certaine froideur et e retourna sans un mot.

Puis l'inconnu repris -Sa va?
Elle devait avoir remarqué ses quelque larmes sur ses joue.

Elle voulait tant parlé à quelqu'un, de cette journé, de ses parents, elle se senti si seule à ce momant qu'elle quitta d'une traite le magasin si chaud, et si chaleureux, et elle s'engoufrat dans une petite ruelle les larmes aux yeux et
se mis à hurlé le nom de son père, pourquoi lui était mort et qu'elle non? Et pourquoi toute ses mésaventure arivait qu'a elle? Elle se mit à frapé sa tète contre un mur, sa tète devenna ensanglanté et continua à pleurait sous la pluit.

[Hrp: mercipour les conseille shiro *O*]

En relevant la figure vers la mystérieuse jeune fille, je remarquai des larmes qui roulaient sur ses joues. Les yeux pleins d'eau, elle ne prit même pas la peine de me répondre et se retourna. Son visage était de marbre, mais ses yeux trahissaient une apparente tristesse, peut-être même pointant vers la nostalgie. Je regardai le CD et l'autographe dans ma main droite, puis la jeune fille qui s'éloignait en courant. Sentant que quelque chose n'allait pas, je me demandais ce que j'avais bien pu faire... Mais je chassai aussitôt cette question idiote de mon esprit. Il était évident que ce n'était pas une chose que j'avais faite, mais probablement d'une chose que quelqu'un d'autre avait fait. Je n'étais ni une sans-cœur, ni une personne du genre à porter secours à la moindre personne en détresse, mais pourtant, il y avait quelque chose dans l'émotion de la fille qui me rappelait mon enfance à moi aussi... Que j'avais vécu si solitaire et esseulée. Personne pour me consoler, personne pour me réconforter. Et soudain, j'eus envie que ce ne soit pas le cas de quelqu'un d'autre. Je ramassai mon parapluie par terre, que j'avais échappé durant ma chute malencontreuse... J'allais en avoir besoin.

Sans m'embarrasser des gens que je bousculait derrière le passage de la file aux cheveux noirs, je suivis ses pas vers la porte. Des grognements de protestation s'élevèrent, tandis que j'arrivais devant le double battant argenté. J'allais oublier que je n'avais pas payé le CD. Avant de partir, je l'abandonnai sur le pas de la porte, non sans avoir gardé ma main crispée sur le papier de l'autographe. Surgissant du magasin à l'atmosphère chaude et sèche, je sortis sur la rue, sous la pluie et livrée à l'humidité ambiante. Mon parapluie vert s'ouvrit au-dessus de ma tête alors que je parcourais la rue du regard, me demandant bien où la fille avait pu aller. Gauche, droite... Je ne voyais rien. Mais, en tendant l'oreille, je finis par entendre le cri de douloureuses lamentations sur ma droite. Au pas de course, je pivotai vers cette direction et partis en avant. une ruelle entre les deux bâtiments des magasins, vide. La suivante le fut aussi, mais guidée par les sanglots de la fille, je parvins à la troisième. La fille mystérieuse était là, seule, dans le noir. Elle pleurait à fendre l'âme. Du sang gouttait de son front et coulait doucement sur son visage, se mêlant aux larmes de tristesse.

La pluie, mélangée à tout cela, tombait drue comme des cordes sur la scène poignante. Ne pouvant laisser un être humain dans une telle détresse, je m'approchai d'elle et plaçai mon parapluie au-dessus de sa tête.

- Je m'appelle Shirohime. Quelque chose me dit que ça ne va pas... dis-je.

Ensuite, je me laissai glisser le long du mur de briques crues et rouges. Je tentai de faire un sourire avenant et compatissant à la pauvre, elle n'avais vraiment pas l'air dans son assiette. Rien qu'à la voir, j'en avais à mon tour les larmes aux yeux. Poussant un soupir, je les refoulai sans difficulté et reportai mon attention sur la personne qui était assise à mes côtés.

[ HRP : Ça a l'air quelque peu mieux... Mais voici quelques trucs qui ont fait leurs preuves ^^ Pour les « É-ER-EZ », je te suggère d'utiliser le truc suivant : si tu peux remplacer le verbe par « mordu », ça veut dire qu'il finira avec un « é », si tu peux le remplacer par « mordre », ton verbe se terminera en « er », et finalement, si tu peux le remplacer par « mordez », ce sera « ez ». ^^ Je vois de nombreuses fautes d'orthographe et d'usage, comme tennait (tenait), authoggraphe (autographe), goupi (groupies), vantart (vantard), tète (tête), éssayé (essayer), ramenné (ramener), journé (journée), momant (moment), et ainsi de suite. Ces fautes, tu peux les corriger en utilisant un correcteur tel que Microsoft Word, en regardant dans un dictionnaire, en utilisant http://www.le-dictionnaire.com/, un correcteur de Firefox ou http://bonpatron.com/ (en ligne). Voilà, et encore, bonne continuation ^^ ]