Faim incontrolable [Terminé]

Mes deux proies se tenaient devant moi, j'étais prête. Malheureusement, quelqu'un m'avait suivit, je ne serais donc jamais tranquille ? Je tourna la tête et regarda vivement mon poursuivant. Aucun danger, ce n'était que ce garçon qui nous avait rejoint quelques minutes plus tôt. Comme c'était à prévoir, je ne me souvenais plus de son nom... C'est que ça n'avait pas d'importance !

Je m'apprêtais à bondir, d'abord sur la gamine quand l'autre garçon sortit de l'arbre dans lequel il était niché, croyant que je ne l'avais pas remarqué, et pris la jeune fille sous son aile. Cela n'allait pas se passer comme ça ! Personne, je dis bien personne ne m'ôte le droit de m'amuser ! À moi, Atsuko Nelka ! Je le fusilla du regard, un rictus mauvais se peignit sur mon visage. J'aurais très bien pu changer de cible, ce jeune garçon aurait pu devenir ma proie, je ne lui devais rien, je ne le connaissais pas, je me fichais de lui. Ôter la vie n'était qu'un passe-temps, une envie. Plus tard...

Le garçon m'observait maintenant. Je détestais quand on m'épiait ainsi. Ne pouvait-il pas s'occuper de ses affaires ? J'avais envie de lui dire de dégager, de me laisser seule avec mes futures victimes mais je me retins. En lui assénant un ordre et donc, en détournant mon attention je risquais de donner la seconde à l'homme nécessaire pour qu'il puisse s'enfuir. J'aurais très bien pu le rattraper mais j'étais fatiguée. Je n'avais aucune envie de me lancer dans une quelconque course.

Je bondis sur l'homme. Mes éventails en avant. Ils fendirent l'air, j'entendis quelques gémissements. Puis plus rien. Le silence. Seuls le clapotis de l'eau du lac qui était proche était audible. Tout était finit. Mes pulsions étaient calmées. J'étais heureuse. Enfin.

Ayant vu toute la pièce je me mis à grimper sur les arbres. Je n’avais pas envie d’être la prochaine victime j’avais encore ma vie.je grimpa dans l’arbre le plus haut et dans la branche la plus haute. Arriver en haut je me souviens que de cette hauteur je ne pouvais pas sauter je ne savais pas quoi faire. Tout se qui me restais s’était de trouver un humain pour venir me chercher mes pas pour me manger évidament.il me restais une ressource s’étais de miauler.ses se que je fis.
-miaou miaou

Après avoir sauvé la très jeune fille est une fois installé je regardait ce qui allait ce passait
La jeune femme n'attendit pas pour sautez sur l'homme armée est lui planté son éventail qui paressait vu d'ici beaucoup plus solide que du fer
Je ne risquait pas une seconde de lâchait la jeune fille après avoir vu ce massacre car à voir sont air elle ne comptait pas l'épargnai bien quelle soit innocente
Puis une jeune femme qui ressemblait d'ailleurs plus a un chat se mit a monté dans un arbre effrayée par tout le sang visible tout ce que je fit c'est resté assis est regardait la suite des événement mais sans que je m'y attendit une petite phrase sortit de ma bouche :
-Alors tout ce sang te plais ?

-miaou miaou
Je ne peux pas redescendre a cette hauteur jr ne tomberai pas sur mes patte. Je tremblais de peur.je ne voulais pas descendre et me faire mal. J’étais la a regardé en bas et a mesurer la hauteur.si je descendais je risquais de me casser une patte s’était trop haut. Bien plus haut que deux étage s’était le maximum que je pouvais sauter ses au delà de mes compétence.

Ma victime gisait à terre, son visage tordu par un rictus mélangeant à la fois la souffrance et la peur. Je nettoya mes lames du bout des doigts, le sang avait eu le temps de sécher à cause de la chaleur. Je dus donc y mettre les ongles pour gratter la fine couche rougeâtre qui maculait mes armes. Chacune d'elles.

C'est alors que je remarqua que la jeune fille n'était pas passé sous mes éventails. Non. L'autre jeune homme la tenait toujours, la prenant dans ses bras, lui voilant les yeux - sans doute pour qu'elle évite de poser les yeux sur l'homme, du moins de ce qu'il restait de son cadavre. Partout du sang. Je l'avais éventré. De haut en bas. Le liquide vermillon et brûlant ne cessait de s'écouler de chacun des orifices de la peau restante de l'homme que j'avais tuée. La jeune fille avait des cheveux ombres, ses yeux étaient noirs comme la nuit, bientôt le noir laisserait place au sang de son corps. Bientôt...

C'est alors que je remarqua quelque chose. Non. Quelqu'un ! La personne en question n'était pas discrète, elle faisait autant de bruit qu'un éléphant chargé contre un tronc d'arbre. Je leva la tête, c'est alors que j'aperçus la personne qui se faisait remarquer non par des cris comme je l'avais d'abord crus mais par des miaulements. Je tendis un peu plus ma tête vers le haut, essayant de discerner la fille qui miaulait c'est alors que je la vis. Elle n'était pas humaine. Peut-être était-ce une chimère ? En effet, la jeune fille avait deux oreilles de chat et une queue qui se balançait de gauche à droite. Ses miaulements étaient atroces. Cette bête souffrait-elle ? Dans ce cas je me ferais un plaisir d'abréger ses souffrances. Je me préparais à bondis quand l'homme qui veiller sur la gamine lança :

-Alors tout ce sang te plait ?

Pourquoi me demandait-il cela ? Petit impertinent ! Je ne m'étais pas rendue compte qu'il avait été témoin de la scène du carnage. Personne, je dis bien personne n'était au courant de mes agissements. Cela n'allait pas commencé aujourd'hui !

- Ce n'est pas un endroit pour toi. Oublie donc ce que tu as vu et je te laisserais la vie sauve.

Pur mensonge bien sûr.

Le petit chat dans l'arbre miaulait toujours ce qui avait l'air de dérangez la fem.... non la meurtrière qui ce trouvait maintenant a quelque pas de moi en train d'essuyer le sang quelle a accumulée sur les éventails quelle tenait toujours fermement comme si elle voulait encore tuait.

La petite fille était toujours inquiète alors je décida de la laissez partir pour ne pas quelle entendent encore les cris d'agonie que poussez l'homme qui était maintenant vidé de tout son sang

Mais avant que j'eus le temps de me levez l'assassine me dit :
- Ce n'est pas un endroit pour toi. Oublie donc ce que tu as vu et je te laisserais la vie sauve.
je n'y fit pas vraiment attention car ma priorité était d'éloigner la petite fille une fois assez loin je la laissa continué toute seule car je vit que sa mère n'était pas loin

maintenant j'étais revenu a l'endroit du meurtre est j'attendais de voir les réaction qu'elle allait avoir.

Je tremblais toujours et plus en voyant l’homme crier .je me mit à miauler plus fort.
-MIAOU MIAOU
Je ne savais pas si j’allais fini comme lui mes j’espérais que non .Je me demandais si j’avais été abandonné ici.

Certes j'aurais très bien pu choisir la facilité : tuer cette fille Neko, me repaître de son sang... Tout cela m'aurait satisfait ! Oh oui ! Mais voilà, je n'aimais pas quand c'était trop simple. Il me fallait ma dose de risque, d'adrénaline... À quoi aurait donc servit que je tue cette fille ? Peut-être à satisfaire mon ego, à afficher une victime de plus à mon tableau de chasse.

Je monta dans l'arbre le plus proche, remarqua que la distance qui me séparait du félin était bien faible. Je sauta donc, j'eus à nouveau la sensation de voler, pendant un bref instant bien sûr, puisque je m'agrippa bientôt à la branche du chat. La branche où il se trouvait. Je sortis mes éventails, décidée à en finir, oubliant mes principes. Mais voilà que j'en avais oublié un. Le jeune homme qui avait mis la gamine à l'abri ! J'étais tiraillée. Que faire ? Tuer le chat ou le garçon ? Mon intuition me soufflait que je n'aurais pas droit aux deux, il fallait donc choisir !
Je fis quelques pas en direction de la fille aux oreilles de chat, elle hurlait, hurlait, hurlait. Tellement fort que je dus me boucher les oreilles. Mes éventails étaient prêts, j'étais en position de combat mais ce n'est pas la jeune fille que je visais. Non. C'était la branche. Je la trancha d'un coup sec, retomba en même temps que la branche qui me soutenait, me préparant à l'impact, je dirigea mes mains droits vers le sol, me tenant droite, sortit la tête des épaules.
J'avais choisis.

Je remarqua du coin de l'œil que le garçon avait mis la jeune fille à l'abri, l'avait poussé près d'une femme, sa mère sans doute. Il me regarda droit dans les yeux, me défiant du regard. Ma réaction fut sans appel. Je fonça droit sur lui, armes pointés dans sa direction.

Je ne savais pas quoi faire alors je me mis à faire ma mignonne des fois que sa marcherais.
-miaou Je me mis à ronronner et à me frôler a l’inconnu en espérant qu’il est pitié de moi.
Je le regardais avec des yeux piteux.

Que c'était agaçant ! Le matou n'arrêtait pas de miauler ! Je détestais tout ce qui avait un rapport avec le bruit ou l'agitation, tout comme je déteste sentir des mains étrangères me toucher, même juste m'effleurer, cela a le don de me mettre hors de moi.

- Ferme la ! Lui lançais-je, tes couinements m'énervent !

Le misérable chat de gouttière s'avança vers l'homme qui avait mis la jeune fille en lieu sûr et alla se frotter contre ses jambes, l'air de chercher un soutien que l'autre ne semblait pas lui apporter. Si ce chat s'était frotté contre mes jambes, je lui aurais sans aucun doute mis un coup de pied au derrière et il aurait fait un vol plané. Je me fichais de cet animal, comme de tous les animaux d'ailleurs.

Les choses qui comptaient pour moi étaient tellement minimes que l'on pouvait les compter sur les doigts d'une main. Sur trois doigts pour être précise.
La première était les cerises, ça c'est normal, je ne pouvais pas vivre sans cerise, je dédiais ma vie à ces fruits rouges, légèrement acidulés, juteux et sucrés à souhait.

La deuxième était de tuer. Contrairement à d'autres qui ne supportaient pas la vue du sang, moi ce liquide rougeâtre et brûlant m'emplissait de bonheur. Entendre les derniers gémissements, les quelques suffoquements de mes victimes m'emplissaient de bonheur.

La dernière chose que je chérissais, et celle qui avait sans aucun doute le plus d'importance à mes yeux était moi. J'étais égoïste, on me le répétait souvent. J'en avais l'habitude.

J'étais toujours assis bien confortablement et en train de regardez le spectacle.
Bien oui pour moi tout sa n'était qu'un spectacle et i devenait de plus en plus attractif.

La jeune fille se mit a monté a l'arbre dans lequel ce trouvait le .... chat oui ou peut-être pas ....Bref quelque soit cette chose la jeune fille était prés a l'attaquez mais elle n'eut pas l'ère vraiment décidez a le faire

Tout d'un coup sans que je m'y attendent vraiment elle coupa la branche et fonça a grande allure vers moi.

Mais la .... petite chose qui était sur la branche était plus rapide et arriva sur moi en premier et commença a se frottait a moi.

Mince j'avais due passez pour un justicier en sauvant la jeune fille mais bon je n'avait aucune envie de sauvez ce ..... ça !!

Je le repoussa d'un geste brusque de la main tout en articulant entre deux bâillement

-Oust psshit va donc au bucher sale bête!

Le garçon n'avait pas l'air d'aimer le chaton, sa réaction fut étonnante, me surpris d'abord, forçant à m'arrêter puis je repris mes esprits, me remis en tête l'idée de tuer cet homme, ou le chaton, peu importait. Il repoussa d'un geste brusque le chat qui s'était collé à lui, bailla et articula :

-Oust psshit va donc au bucher sale bête!

Je repris ma course, le matou se tenait devant moi, je n'allais donc pas me gêner et risquer de perdre du temps en faisant demi-tour. Mes éventails tendis devant moi, élancés dans ma course, je les brandis et cisailla la peau du matou au passage. Plus rien ne me séparait désormais de ma proie.
Je le provoqua du regard, attendant de voir ce qu'il allait faire avant de passer à l'attaque. Plus rien ne m'empêcherait de le réduire au silence.

- Je te laisse une dernière chance, fuis et tu auras la vie sauve, sinon je serais obligée de me débarrasser de toi aussi.

Elle fonçait toujours vers moi avec cette air dans les yeux qui me laissez pensait que si un combat devait être engageait nous n'étions pas sur d'en ressortir tout les deux.

Sur le chemin elle égorgea le petit chatons sans la moindre once de pitié.

Alors tout en me défiant du regard elle me lança :
- Je te laisse une dernière chance, fuis et tu auras la vie sauve, sinon je serais obligée de me débarrasser de toi aussi.

-Désolé je n'approuve aucune des deux options.
Répondit-je assez sur de moi, les arme déjà a la main je me leva et me mit en position de combat.

-On-y va ?

(hors rp)
euh ... hinata on a le droit qu'a un RP pars personne =)

Je m'élança droit sur lui, décidée à en finir avec cet homme. Je n'aimais pas sa manière de me parler, il se prenait pour qui, lui ? Il me toisait, me regardait de haut... En effet, je faisais de même mais ce n'était pas une raison pour qu'il fasse la même chose ! Je vais pouvoir lui régler son compte;e une bonne fois pour toute, ça lui apprendra. Qu'importe sa réponse, je le découperais en morceaux à l'aide de mes éventails.

-Désolé je n'approuve aucune des deux options.

Il avait déjà sortit ses armes, mais si il comptait sur l'effet de surprise pour me déstabiliser, c'était raté.

-On-y va ?

Il rigolait j'espère ! On était à deux doigts d'un combat à mort et il me demandait si j'étais prête ? En combat singulier ? En combat à mort ? Cet home était vraiment étrange !

Ne sachant plus quoi faire je me mis à miauler de nouveaux
Miaou MIAOU
En montant la voix a chaque miaulement

Elle avait l'air tonnait par ma réponse comme si j'aurais due me laissez tuer sans rien faire ...
-Alalalah....

Elle me regardait toujours comme si j'étais un inconnue hostile...Quoi que c'était exactement le cas mais bon .... En tout cas si personne ne fait le premier pas se combat ne risquait pas de commencez!

Je la frappa donc a la tête avec le le tonfa que je tenait dans ma main gauche et me préparait a défendre avec l'autre.

A ce moment la je sentit l'excitation montait en moi et mon sang bouillir comme a chaque combat...

Je vais te mordre a mort!!

Suite a cette déclaration le petit énergumène mi-chat mi-je-ne-sait-quoi se remit a bougez comme s'il n'avait pas était toucher par l'attaque qu'il a subit...

-Alalalah....

Pourquoi cet homme râlait-il encore ? N'était-il donc jamais satisfait ? Mais était-il ne serait-ce qu'un peu... Humain ? J'en doutais. Des crocs commençaient à apparaître, ses yeux dévoilaient une froideur inimaginable, me glaçant le sang, jusqu'aux os, me faisant tressaillir.

D'un geste vif, il se mit alors à m'attaquer. Comment osait-il ? Comment ce sang impur osait-il me toucher ? Je n'allais pas en rester là, pas après cet affront ! Il avait anticipé mes actions et se mit donc en position défensive.

Je vais te mordre a mort!!

Je n'étais plus très sûre de moi désormais. Un vampire ! J'avais donc raison ! C'était la première fois que je rencontrais une telle créature. Des tas de légendes circulaient sur ces étranges créatures mythiques, on les disait suceur de sang et je n'avais pas très envie de le vérifier par moi-même.

- On se reverra.

Je choisis donc la fuite, grimpant en hâte dans l'arbre le plus proche, bousculant dans la foulée la créature féline qui était remontée sur son perchoir. Je courra, courra, courra. Pour échapper à cette créature. Je ne me reposa qu'une fois qu'une bonne distance avait été creusée entre elle et moi. Pour la première fois, j'avais eu peur.